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 C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven

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Harry F. T. Ruthven
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Harry F. T. Ruthven
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MessageSujet: C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven   C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Icon_minitimeMer 12 Juin - 10:47


Harry Fitzwilliam Turner
(Ruthven)

Un gentleman n'a pas à expliquer son comportement.


Informations Générales



IDENTITÉ : Harry Fitzwilliam Turner (Ruthven).
SURNOM / NOM DE CODE : Harry ou Monsieur Turner.

AGE : 230 ans passés.
DATE & LIEU DE NAISSANCE : 3 janvier 1785, à Pemberley, dans le Derbyshire. Transformé en 1843, à Pemberley, dans le Derbyshire.
NATIONALITÉ : Britannique.

SITUATION MATRIMONIALE : Veuf.
ORIENTATION SEXUELLE : Fidèle.

METIER : Gentleman. Peintre.
LIEU DE VIE : Son appartement privé, 69 Kingsroad.

AVATAR : Colin sobritish Firth
CREDIT AVATAR : Kane & Same Old Love


Parlons un peu de toi


CARACTERE : Harry est l’archétype du gentleman anglais: flegmatique, poli, toujours droit et vêtu presque exclusivement de tweed. Il a une haute estime de lui même, certains pourrait même le traiter d’orgueilleux. C’est un esthète, ayant la beauté et le raffinement en principe de vie. C’est aussi un homme complexé par son âge, en effet, il est l’un des seuls êtres immortels du Dôme (et du monde sans doute….) à avoir plus de 50 ans humain (58 exactement). Il reste cependant un homme fier et ne le reconnaîtra jamais vraiment. C’est un homme secret et réservé.

PARTICULARITÉS :  Harry s’est retiré du monde depuis son arrivée dans le Dôme, il est donc très peu au courant de ce qu’il s’y passe. Il est très peu familier avec la modernité, bien qu’il possède un téléphone récent. Il ne sort de son appartement que très occasionnellement, pour se fournir en livres, peintures ou sang, ou encore pour aller voir ses très rares amies en ville. Il est toujours vêtu d’un costume trois pièces et porte des lunettes, par pure coquetterie.



Be careful of the... race


Une famille, un groupe ou la solitude ? Pourquoi ce choix ? : Harry a été transformé contre son gré, ce qui explique en partie sa non-association avec les autres vampires. Ses jeunes années ont cependant été rythmé par la lascivité et les débordements qui ponctuent toute jeune transformation. Cependant, une fois l’euphorie et la soif maîtrisée, Harry a éprouvé une profonde répulsion à l’encontre de sa ‘race’. Il a donc plutôt tendance à éviter les autres vampires, surtout les plus violents, qu’il réprouve.

Ce personnage est-il de ceux qui se contentent d'obéir et de réclamer leur poche de sang, ou bien trouve-t-il d'autres moyens de sustenter sa soif ? Pourquoi ? : Harry est un ermite. L’une des seules raisons le poussant à sortir est son approvisionnement en poche de sang. Tuer pour se nourrir lui ai inenvisageable.

Que pense-t-il du Dôme et de Praedam Hill ? : Son Angleterre natale lui manque… Et pendant de très nombreuses années, il s’est perdu dans ses livres, oublieux du Dôme. Les autres races ne lui provoquent qu’un intérêt scientifique, rendu apathique par son ermitage. Mais les choses pourraient bientôt changées....

Quel est son avis sur les récurrences divines, actives depuis maintenant plus d’un an sous le Dôme ? : Ermite, il ne connaît pour l’instant pas l’existence des Dieux. Mais il va très vite apprendre à s’en méfier.



Et toi, marionnettiste ?

Je m'appelle P. et j'ai pasbesoindesavoir ans.
J'ai connu le forum grâce à Nyx et je le trouve C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 3958411137 .
Mon personnage est un SEMI-INVENTÉ créé par moi.
Je possède des doubles comptes, et c'est tous le club de peintures (Lior, John, Vincent, Borya)!.
Le mot de la fin : C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 3830294218 !


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MessageSujet: Re: C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven   C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Icon_minitimeMer 12 Juin - 10:53


Raconte nous ton histoire

C'est à ses manières que l'on juge un homme.



C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Tumblr_n6acf0xR831rb0bi2o1_500C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Tumblr_p9en3iFUVN1tf6696o1_500
À ceux qui ne changent jamais d'opinion, il incombe particulièrement de bien juger du premier coup.

Fitzwilliam Turner naquit dans une riche famille du Derbyshire, à Pemberley, au début de l'an 1785. Fierté de ses parents, il devint rapidement le fils dont chaque noble aurait désiré. Beau de physique, vif d'esprit, il apprit sans nulle difficulté les différents domaines dans lesquels un gentleman se devait d'exceller dès son plus jeune âge. Cavalier d'exception, très doué dans les domaines littéraires et mathématiques, il montra cependant très peu d'intérêt à l'exercice de la danse, qu'il jugea dès son plus jeune âge inutile. Peu social et n'appréciant guère les autres enfants, il passa le plus clair de son enfance auprès de son père, qui lui apprit tout ce qui touchait à la gestion du domaine familial. Rapidement, il fut même inclut dans les discussions de gentleman, et révéla une vraie finesse d'esprit sur des sujets complexes, historiques, politiques et même religieux.

A l'âge de 12 ans, il fût gratifier de la naissance d'une petite soeur, la douce Georgiana, pour qui il eu immédiatement une affection débordante. Elle fut le seul enfant que Fitzwilliam aima jamais. Au grand soulagement de sa mère, Fitzwilliam retrouva un sourire d'enfant, qu'il avait finit par effacer au profit du flegme inhérent aux gentlemans. Il prit très au sérieux l'éducation de sa soeur, allant même jusqu'à épauler leur précepteur, permettant à la jeune enfant de s'épanouir dans des domaines pour lesquels elle éprouvait de la curiosité, même si ceux-ci étaient réservés aux hommes.

Malheureusement, lorsque Georgiana eu à peine 7 ans, leur mère tomba gravement malade et elle décéda à l'hiver 1802. Leur père la rejoignit l'été suivant. En moins d'un an, le jeune Fitzwilliam devint non seulement l'héritier de son nom, le propriétaire du domaine familial, et le tuteur de sa jeune soeur, charge qu'il partagea avec son oncle maternel, dont le statut de militaire ne le rendit cependant pas aussi disponible que Georgiana l'aurait souhaité. Malgré son jeune âge, Fitzwilliam se révéla excellent en la matière, et il devint très rapidement un gentleman respecté et même admiré de certains. Sa figure élégante, quoi que taciturne, intrigua également quelques jeunes femmes bien nées, mais Fitzwilliam n'éprouva ni envie ni désir ni même intérêt à leur égard, préférant se concentrer sur l'éducation de sa jeune soeur, l'administration de son domaine et les débats politiques et historiques avec ses pairs, au grand damn de la seule personne qu'il considéra comme un proche, Charles Bingley.

A force de persuasion, et de beaucoup de promesses, Bingley parvint enfin à mêler Fitwilliam aux mondanités mais cela, comme il l'avait prédit, lui déplût ardemment. La danse lui semblait toujours aussi vaine et inutile, et les ragots que colportaient dames de tout âge l'ennuyait à mourir. Bien malgré lui, il attirait l'attention et de nombreuses dames tinrent à lui présenter leurs filles, à qui Fitzwilliam n'accordait que de brèves salutations. Jamais il n'accepta une seule danse, et rapidement, on dit de lui qu'il était de ces hommes que nul ne pouvait atteindre, provoquant paradoxalement autant de colère que d'amour, de passion que de méfiance. Les propres de soeurs de Charles se mirent à lui porter un intérêt tout particulier, particulièrement Caroline, dont l'esprit fier et la langue critique eurent le mérite de divertir Fitzwilliam lorsque Charles se mêlait aux mondanités avec un délice qui lui demeura toujours obscure.

Elle fut à ses côtés lorsque Charles décida d'organiser un grand bal dans le domaine qui loua à l'été 1813, à Netherfield. La bourgade rurale fit grand cas de ce bal et toute la populace s'y pressa, agaçant Fitzwilliam par procuration. Il ne comprit nullement le désir de son ami de se mêler ainsi à des classes inférieures à la sienne, d'autant plus lorsqu'ils rencontrèrent ensemble la famille Bennet, dont la mère sembla si désespérée de mariée l'une de ses filles à une fortuné époux qu'il en ressentit immédiatement de la colère et un profond mépris. Ce type de comportement opportuniste l'agaçait au plus haut point, et il avait une très haute conscience de son propre rang. Aussi ne fit-il aucun effort pour être plaisant, bien que son ami lui fut instantanément attirée par la plus âgée des jeunes filles, la dénommée Jane, qui somme toute était agréable à regarder. Sa soeur, en revanche, Elizabeth, tout juste passable, n'eut droit qu'à un refus lorsqu'elle lui proposa de danser avec elle.


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Malheureusement, cette amourette incompréhensible prit rapidement bien plus de place qu'il ne l'aurait songé dans la vie de son ami, et par écho, dans la sienne. Surveillant les intérêts de son ami, et de fait, la relation qu'il créait avec Jane, il eut le déplaisir d'apprendre l'arrivée d'un ancien ennemi dans la région et, étrangement, dans la vie des Bennet: Goerge Wickham, filleul de son défunt pair. Cet homme sans scrupule et sans honneur se mit à rôder autour des filles Bennet, qui, à l'instar de sa soeur des années auparavant, s'éprirent rapidement de lui. Cette affection lui déplût fortement, son bon sens lui ordonnant de ne pas intervenir mais sa charité lui murmurant de ne pas le laisser impunément les berner. Ce fût à cet époque qu'étrangement son affection pour Elizabeth s'engagea en lui sans qu'il ne pu lutter, à son grand regret. Cette femme, qu'inférieure à son rang, était douée d'un esprit vif et raffiné, et son intelligence était des plus agréables. Elle était, en tout point, bien différentes de toutes celles qu'il avait rencontré à ce jour.

Un autre bal eut lieu à Netherfield. Et malgré tout bon sens, Fitzwilliam ne parvint à se contenir lorsqu'il aperçut Elizabeth en fâcheuse posture face au révérend Collins, un homme petit et ridicule, dépourvu de la moindre grâce en matière de danse. Bien que réticente, elle accepta son aide, dansant avec lui. Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir enfin un intérêt à cette activité soudainement! Malheureusement, tout fût gâcher par l'arrivée brutale de Wickham, qu'elle semblait bel et bien apprécié, et Fitzwilliam prit aussitôt congé. Souffrir la présence de l'homme qui l'avait escroqué de plusieurs centaines de livres et manquer de peu d'enlever sa soeur lui était intolérable, et son éducation de gentleman lui interdisait la moindre scène en publique. Fuyant sa présence, il découvrit avec stupéfaction que le bon peuple de Netherfield attendait sans plus attendre l'annonce d'un prochain mariage entre Bennet et Bingley, pour la plus grande joie opportuniste de Madame Bennet mère. Ne tenant plus, Fitwilliam prit le parti de partager ses craintes et objections concernant les sentiments que son ami éprouvait pour Jane Bennet et avec l'aide de sa soeur, il parvint à lui faire quitter Netherfield et abandonner toute idée de mariage avec Jane, qui n'était sans doute pas moins opportuniste que sa mère.

L'hiver passa sur Londres, et malgré ses efforts, il ne parvint pas à ignorer les sentiments grandissant qu'il éprouvait à l'égard d'Elizabeth. Elle était, étrangement et contre toute attente, la femme qu'il désirait et qui complétait toutes qualités qu'il escomptait chez une femme et une épouse. Aussi finit-il, la rencontrant par un caprice du destin dans les propriétés de sa tante Lady Catherine, par la demandé en mariage, malgré l'imperfection que cet union soulignerait. Quelle ne fut pas sa surprise quand elle refusa sans même une hésitation. Plus tempétueuse que jamais, elle n'en fut que plus sublime et lorsqu'il osa lui demander la raison de son refus, elle le lui cracha au visage sans aucun fioriture. Elle lui reprocha ses intrigues pour nuire au bonheur de sa soeur, ainsi que son comportement envers l'infortuné Wickham et ce fût comme une gifle. Blessé dans son orgueil, il accepta son refus et disparut de sa vue, pour toujours semblait-il.

Il lui fallut quelques temps pour surmonter cette blessure, mais malgré son arrogance et son orgueil heurté, il prit le parti d'écrire à Elizabeth et de répondre de ses accusations. Il avoua avoir prit part à l'écartement de Bingley et Jane, mais confessa qu'il avait sincèrement cru à un mouvement opportuniste de sa part. Il justifia également son ressentiment concernant Wickham, expliquant ses manigances et son caractère libertin, racontant son chantage et ses escroquerie, l'argent qu'il exigeait, et les dotes après lesquelles il courait sans scrupule. Il lui parla également, quoi que pudiquement, du rapt prévu de sa jeune soeur et combien cela l'avait ébranlé. Il manqua de brûler cette lettre, il choisit de la poster malgré tout. Après cela, il s'en retourna dans le Derbyshire, prétextant oublier le monde et sa vanité auprès de la seule femme qui ne l'eut jamais blessé, Georgiana.

Quelle ne fut pas sa surprise quand l'été venu, Elizabeth choisit de venir à Permberley, accompagnée de sa tante et de son oncle. Loin de le mépriser et de le juger pour ses aveux, elle sembla au contraire bien plus disposé à le tolérer et même à le connaître, ces mésententes passées. Ensemble, ils passèrent de merveilleux moments, se découvrant réellement l'un l'autre, loin de l'orgueil déplacé d'un homme bien né et d'une femme à l'orgueil tout aussi développé. Elle était tout ce qu'il rêvait d'une femme et bien plus encore... Il lui présenta sa soeur, Georgiana, à qui elle plût immédiatement, bien qu'elle l'apprécia déjà auparavant, du fait du portrait que son frère lui avait décrit.

Malheureusement, leurs retrouvailles furent entachées par une terrible nouvelle, la fuite de sa jeune soeur, Lydia, en compagnie de George Wickham. Elizabeth rentra immédiatement et Fitzwilliam décida d'affronter ses propres démons. Sans grande difficulté, il retrouva Wickham et lui offrit une dote en l'échange d'épousailles avec Lydia, afin qu'il ne puisse point escroquer la famille Bennet, les sauvant ainsi du déshonneur. Le mariage prononcé, il se rendit à Londres pour rencontrer Charles et lui avouer son erreur de jugement concernant Jane et le pressant même de renouer contact avec elle. Plus que son honneur, c'est le bonheur de son ami qu'il désire désormais protéger. L'accompagnant à Netherfield, il le soutint jusqu'à sa demande en mariage, qui fut couronner d'un grand oui par la discrète Jane.

Bonheur n'aurait pu être plus grand alors. Pourtant il le fut lorsqu'Elizabeth, à son tour, accepta de l'épouser.


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Ensemble, ils vécurent de longues et heureuses années. Georgiana n'épousa jamais personne, et elle vécut à leur côté, à Pemberley. Ni Fitzwilliam ni Elisabeth ne désira d'enfants, et ils ne souffrirent jamais de ce manque, chacun se vouant pleinement aux occupations qui les ravissaient, et les comblaient. Georgiana fut la première à partir, emportée par la fièvre. Elisabeth à ses côtés, Fitzwilliam affronta le deuil. Puis, bien des années plus tard, ce fût à Elisabeth de s'éteindre, laissant Fitzwilliam seul dans son grand domaine. Fort âgé, à l'aube de ses cinquante années, un âge plus que respectable pour son époque, il songea qu'il ne lui restait plus rien à accomplir que de mourir encore plus âgé. Il n'eut qu'à moitié tord. Il vécu encore une dizaine d'année avant de croiser la route des Ruthven.

Il était fort tard, et Fitzwilliam s'était endormi dans le grand salon lorsqu'il entendit les hurlements de sa femme de cuisine. D'abord, il crut à un mauvais rêve, mais les hurlements allèrent crescendo et lorsqu'il sortit enfin du salon, il fut happé par une force qui le propulsa si brusquement que le fauteuil dans lequel il s'était assoupi vola en éclats. Sonné, il mit quelques minutes à réaliser que son salon était envahit par des dizaines d'hommes et de femmes, au menton maculé de sang et aux dents proéminentes. Terrifié, il demanda grâce, récitant le 'Notre Père', mais cela ne fit que rire ses envahisseurs. Un jeune homme aux traits hispaniques apparut devant lui, lui demandant si il était bien le maître de cette maison. Fitzwilliam s'entendit bafouiller l'affirmative et il fut soulever comme un fétu de paille, traîner par le col sans qu'il puisse opposer de résistance. Il fut jeter au sol, et des doigts longs et froids relevèrent son visage, découvrant un homme dont le visage ne portait nulle trace de sang ou de blessure, mais dont l'expression seule suffit à glacer le sang de Fitzwilliam. On aurait dit qu'il pouvait l'assassiner d'un souffle et quand il dévoila ses dents dans un sourire, Fitzwilliam recommanda son âme à Dieu. La suite ne fut qu'une intense et longue douleur, marteler d'un goût métallique et ferreux, et d'une odeur de terre. On dit que lorsqu'un vampire nait, il doit traversé l'enfer pour sortir de terre. Pour Fitzwilliam, cela lui sembla même pire que l'Enfer.

Lorsqu'il revint d'entre les morts, ses mains creusant la terre meuble dans laquelle ont l'avait enterrer, il ne songeait plus qu'à une chose: la soif dévorante qui lui vrillait le corps, pulsait dans la moindre de ces cellules comme si l'oxygène lui-même ne suffisait plus. Le garçon aux traits espagnoles lui jeta en pâture son propre majordome, mais il ne le reconnu même pas. Seul comptait à cet instant les veines bouillonnantes de vie qui perlaient à même sa peau, et qu'il dévora sans ressentir le moindre répit. On lui apporta une autre proie -le fils du majordome, et ce ne fût qu'une fois l'avoir vidé entièrement qu'il retomba sur le sol, le souffle court et le corps en feu. Mais c'était un feu étrangement bienfaisant, étrangement vivant, courant dans son corps. On le redressa et il eut l'impression que le monde s'offrait à lui sans voile ni imperfection, comme si on avait retirer de sa vue les poussières du monde. Lord Ruthven lui donna son nom et pendant de nombreuses années, le domaine des Turners devint le repère secondaire de la famille de vampire la plus prolifique et puissantes d'Europe.


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L'immortalité avait tous les attraits de la merveille. Elle offrait enfin la libération de se savoir passager, fugace, futile. Enfin, l'existence prenait sa véritable valeur, celle de graver son nom dans l'histoire du monde, de vivre chacun des événements qui changeait l'Histoire, de faire partie de toutes les histoires. Il eut enfin le loisir d'exister sans penser aux conséquences, à l'avenir de sa soeur ou de sa femme, à l'avenir de son titre et de son nom. Et quel stupre, quelle volupté! Malgré son grand âge, le vampirisme lui avait conférer des muscles fermes et une peau blanche, le rendait presque exotique au milieu de tous les corps jeunes et immortels de la famille Ruthven. Même Lord Ruthven ne rivalisait guère en terme d'âge physique, même si jamais il n'aurait songer à se comparer à son Maître. Il était bien mieux ici-bas, parmi les vampires nés bien avant lui, à qui il put poser les milles questions auxquelles il n'avait jamais espérer de réponse. Il était bien plus heureux parmi les vampires nés de haute extraction, avec qui il pouvait conversé sans détour de la politique, la religion et l'Histoire. Il était bien mieux auprès de ces dames, dont la sensualité était offerte.

Lors des rapts et des chasses, il était l'un des plus rusés, mais Lord Ruthven était strict quant aux règles, veillant à les préserver des débordements de la jeunesse, les chasseurs de vampire étant nombreux en Angleterre à cette époque. Si la plupart se concentrait sur Londres, il n'était pas rare qu'ils battent la campagne britannique, à la recherche d'âmes damnées à rendre à la terre. Fitzwilliam les trouvait presque touchant, mais la plupart ne parvenait pas même à voir leur visage. Plus le temps passait, plus leurs rangs grossissaient. Pour chaque vampires tués, des dizaines sortaient de terre- dont une qui devint rapidement son amie et sa partenaire de tous vices, Héléna. Du moins, c'est ce qu'on leur disait et Fitzwilliam devait bien avoué que, tout passionné d'Histoire qu'il fût, il ne songeait alors nullement à une quelconque conquête ou même à la moindre guerre. Etonnement, ce fut les humains qui la menèrent à leur porte.

La Première Guerre Mondiale éclata et ils furent contraint de quitter le refuge qu'offrait Pemberley pour revenir à la capitale, où de nombreuses intrigues se tramaient à demi mots. Espionnage, rapt, disparition. Pendant de nombreux mois, Fitzwilliam fut envoyé comme agent vampire au sein des renseignements britanniques, sa connaissance technique du territoire britannique lui permettant de se faire passer pour ce qu'il n'était pas. Le plus dur fut d'apprendre à résister à l'appel du sang, mais Lord Ruthven lui promettait toujours de quoi se sustenter après l'effort. Rapidement, il devint l'un des atouts majeurs de la famille et les temps changeant, on lui offrit un nouveau nom. Harry. Ce fût l'un des vampires avec qui il travaillait qui lui trouva ce pseudonyme. Lui avait choisit un nom bien moins discret, mais personne ne lui en tint rigueur.

Ce fût un jour où il allait se nourrir que les choses basculèrent drastiquement. Alors qu'il avait assommé une jeune femme, sa mère sortit de la maison, emittouflée dans une laine. La vision de l'homme aux canines proéminentes penché au-dessus de sa fille la figea sur place, faisant le signe de croix comme par réflexe, avant de se mettre à hurler. Monstre! Si il lui brisa la nuque sans hésiter, le mot se répercuta en lui comme un glas, lui remémorant sa propre réaction lors de l'invasion de son domaine. Etait-ce tout ce qu'il était devenu désormais? Un monstre? Un horrible cauchemar se repaissant des humains, devenu de simple proie? Cette prise soudaine de conscience le fit vaciller, titubant dans la ruelle, soudain prit de nausée. Qu'avait-il fait? Qu'était-il devenu? L'espace d'un instant, le visage d'Elisabeth et de Georgiana parurent dans son esprit, et brusquement, un cri déchirant retentit près de lui. La jeune femme qu'il avait assommé avait reprit connaissance, et tenait le corps de sa défunte mère entre ses bras, pleurant à chaude larmes. L'image saisissante lui rappela la sienne, lorsque sa soeur était morte. La nausée le prit totalement et il se mit à courir, pour fuir la scène de son oeuvre morbide.

Après ce jour, il ne resta pas moins d'une semaine de plus à Londres. Sans prévenir quiconque, il reprit la route et retourna à Permberley, sans un regard en arrière.


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La guerre prit fin et longtemps Harry demeura la peur au ventre à l'idée que Lord Ruthven ne vienne le chercher pour trahison. Mais plus le temps passait, et plus Harry finit par se dire que l'on avait probablement oublié son existence. Si il était doué en son domaine, il n'était pas le seul. Peut-être l'avait-on cru mort? Possible. Cela dit, sa théorie s'effondra quand Merlin revint à son tour à Pemberley, sans animosité aucune. En réalité, il avait également fuit la capitale après service rendu. Harry l'accueillit comme un frère, et ensemble, ils demeurèrent longtemps dans le Wessex.

L'humanité avançant, Merlin se prit de passion pour l'industrie et les inventions, modernisant à sa manière le manoir d'Harry, cependant qu'Harry s'adonnait à sa passion inavouée: la peinture. Prenant différents pseudos, il vendit de très nombreux tableaux*, afin d'assurer la pérennité de leur sanctuaire. Pendant l'été 1920, Héléna vint même s'installer à Permberley pour un temps, mais le caractère trop timoré des deux hommes l'agaça rapidement, et la morne campagne finit par lui redonner goût à la capitale. Harry et Merlin s'étant promit de ne plus tuer, ils se contentaient d'hypnotisés des civils de la ville la plus proche, ne buvant que la quantité nécessaire, même si ils durent avouer à Héléna qu'ils n'étaient jamais pleinement satisfait. Dans leurs esprits demeuraient ces veines vidées de leur contenues, entièrement, ces corps asséchés de leur sang et leur corps en feu, apaisés de leur soif. Mais Harry comme Merlin avaient leurs raisons. Plus jamais ils ne seraient des monstres.

Le temps passa, et rapidement, les tensions de toute l'Europe et du monde surgirent à nouveau. Jamais Harry ne comprit comment des hommes, aussi fragiles, pouvaient créer tant de dégâts. Un bombardement ennemis détruisit en une nuit son manoir, et Merlin et lui furent obligés de migrer. Rapidement, ils se mêlèrent aux humains, et ils entreprirent de reprendre ceux pour quoi ils avaient été si doué pendant la première guerre: l'espionnage. Mais plus pour le compte des vampires: cette fois-ci, ils traquèrent tous les agents doubles, les nazis sous couvertures, les livrant aux autorités quand c'était possible, les éliminant, quand ils le pouvaient. Il s'agissait là d'une guerre contre l'inhumanité, quelques nazis vidés de leur sang ne mèneraient jamais à de véritables enquêtes.

La Seconde Guerre se termina, et, toujours ensemble, ils s'installèrent à Aberdeen, mais l'humanité les rattrapa à nouveau. En 1950, des hommes armées pénétrèrent dans leur maison, où Harry se trouvait seul. Les hommes possédaient des balles à ultra-violets, et ils l'embarquèrent rapidement, menotté et muselé. Juste avant d'entrer dans un fourgon blindé, Harry eu le temps d'apercevoir son ami, dans l'obscurité. Il disparut tout aussi vite qu'Harry disparut de la petite ville, en un éclair. Ce fût là qu'il apprit qu'on allait le mener aux Etats-Unis, nullement pour le tourisme, mais bien pour l'emprisonner, dans ce qu'ils nommèrent 'le Dôme'. Là, de nombreuses créatures telles que lui étaient regroupés, amassés, dans ce qu'Harry craignit de ressembler aux camps de la mort. Mais à son grand étonnement, et même si on le tatoua lui aussi à l'entrée dans ce 'camps'... Le Dôme était un lieu plutôt agréable à regarder, malgré l'enfermement. Une ville centrale, de vastes espaces. Il découvrit l'existence des sirènes, qu'il n'avait jamais soupçonner jusqu'alors. Il rencontra des loups, ceux qu'il avait éviter au maximum lors de sa liberté. Il fit même la connaissance de mutants, dont il avait entendu la rumeur par le biais des informations. Tous différents des humains. Tous regroupés ensemble. Pour le mieux, soit disant.

Harry étant bien né, et n'ayant que très peu touché à ses économies jusque là, il lui fut facile de trouver un appartement spacieux, à son goût. Malgré l'enfermement, la vie demeurait la même, tout se payait, et tout s'achetait. Il prit donc un logement, du s'acheter des fournitures, et eue la bonne surprise de découvrir que le sang était fourni, directement en bouteilles. Et il devait avouer que c'était un soulagement. Rapidement cependant, Harry découvrit que la quasi totalité de la famille Ruthven, ainsi que leurs rivaux, les De Lioncourt, était présent sous le Dôme, ce qui ne lui parut pas une bonne nouvelle. Il évita copieusement de les croiser, se réfugiant dans son appartement qu'il recréa presque à l'identique de celui qu'il possédait à Aberdeen, et il pu attendre près de 5 ans avant que Damian ne le convoque. Fort heureusement, on ne sembla pas lui tenir rigueur de son exil, et on le considéra comme un membre lambda de la famille, le consultant pour les affaires courantes. Harry s'en contenta parfaitement. Il eut cependant la surprise de découvrir qu'Héléna était aussi sous le Dôme, ce qui lui fit sincèrement plaisir, malgré les circonstances. Enfin une raison de sortir de chez lui...


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L'hiver 1990 apporta avec lui son lot de surprise. En pleine lecture, Harry fut interrompu par des coups frappés à sa porte, chose si rare qu'il crut un instant l'avoir rêver. Mais quand les coups redoublèrent, il eut la grande surprise de découvrir sur le seuil de sa porte son vieil ami, accompagné d'une jeune femme aux cheveux tirés en arrière, un peu boudeuse. Merlin l'avait transformé 4 ans plus tôt, et c'était sa fougue de jeunesse qui les avait trahit, les révélant aux yeux de la Milice. Roxanne était âgée d'a peine 19 ans lorsque Merlin en était tombé fou amoureux, et lorsqu'elle eu un accident de voiture mortel, il la transforma pour ne pas la perdre. Quelle surprise quand il réalisa que le coup de foudre avait été réciproque, et désormais, ils étaient même déjà mariés! Heureux pour son ami, quoi que malheureux pour leur assignation au Dôme, Harry les accueillit chez lui, leur offrant toit et sang le temps pour eux de trouver un logement. Cela dura 3 mois, et de nombreuses visions d'actes sexuels, dont Harry se serait parfaitement passé, mais les jeunes vampires avaient le sang bien plus chaud qu'eux autres, vieux vampires.

L'année 2000 passa, et Harry comptemplait le monde d'un oeil morne, un sentiment de malaise grandissant en lui. Il aurait bientôt 230 ans, et n'avait plus sa place en ce monde. Peut-être était-il temps de songer à ne plus en faire parti...


*Etant historienne des arts, je sais que ces tableaux ont été peint bien avant cette époque, mais j'ai vraiment envie qu'Harry soit un peintre préraphaéliste, donc... Voilà. Caprice d'écrivain.

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MessageSujet: Re: C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven   C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Icon_minitimeMer 12 Juin - 23:35
★ METIER : Gentleman.

Métier : Noble

Franchement va falloir choisir C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4200549017 Je pense que tu ne vas pas pouvoir mener ces deux activités fortes prenantes en même temps C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4200549017

C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4131193415 C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4131193415 C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4131193415
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MessageSujet: Re: C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven   C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Icon_minitimeJeu 13 Juin - 8:44
N'ai crainte, je suis plus qu'apte à réaliser plus d'une tâche à la fois, jeune homme! Sugar Daddy n'est pas encore disponible!
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MessageSujet: Re: C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven   C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Icon_minitimeJeu 13 Juin - 20:58
Re-Bienvenue avec ce Gentleman alors C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 3241076078
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MessageSujet: Re: C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven   C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Icon_minitimeJeu 13 Juin - 21:11
Attention avec ça, ça fait 3 C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 1375269473 Fait gaffe au surmenage tu risques de ne pas tenir la cadence C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 1375269473 C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 1375269473

Quel connard quand même tu étais dans ta jeunesse C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 3606862609 J'en suis choqué ! C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4200549017 C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4200549017 non ça m'étonne pas en fait
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MessageSujet: Re: C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven   C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Icon_minitimeVen 14 Juin - 16:59
Hâte d'en savoir encore plus sur ce vieil Harry C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4080650021 Les jumeaux sont contents d'avoir un nouveau vampire à embêter C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 1388078091
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MessageSujet: Re: C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven   C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Icon_minitimeSam 15 Juin - 22:20
Là encore un personnage dans lequel je te reconnais bien dans l'écriture C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 2563789151 re-bienvenue chez toiii C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4131193415 C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4131193415
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MessageSujet: Re: C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven   C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Icon_minitimeLun 17 Juin - 9:56
Darcy en vampire, j'adore C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 4131193415
Et je valide complètement la personnalité que tu lui as donné, c'est trop mignon C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 2305503165

J'espère qu'on se croisera en RP.

En attendant, bienvenu parmi nous C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 1345599897
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MessageSujet: Re: C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven   C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven Icon_minitimeMer 19 Juin - 23:28
Exotique exotique C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 3417246061 J'suis sceptique sur l'emploi de ce terme C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 3417246061 t'as un baobab dans le pantalon en fait c'est ça C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 1375269473 C'est à ses manières que l'on juge un homme. } Harry Fitzwilliam Turner Ruthven 1375269473

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